De l’electro, des fesses poudrées, des effeuillages crazy-horsés. Au sous-sol du Palais de Tokyo, sur une scène jouxtant le bar, les rideaux s’ouvrent et se referment sur des tableaux maléfiques parfois troublants et envoûtants proposés par le « coiffuriste » Charlie Le Mindu. Il déconstruit le corps, célèbre ses sculptures capillaires et donne à voir un show aux allures de revue de mode. On y assiste debout, le verre aux lèvres, mais en sachant que cette fascination tient aussi au fait qu’on n’a pas vu de strip-tease depuis longtemps.
Charliewood
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