
(c) Baptiste Drapeau
Une tendance se dégage de ce Festival d’automne dans la manière dont plusieurs chorégraphes investissent des lieux géants et inhabituellement destinés à la danse pour inventer un geste dont l’audace conceptuelle est de reconfigurer la place du spectateur dans sa relation à l’œuvre d’art, en repoussant incontestablement les limites de sa réception. Créé pour la rue et les lieux publics, « Danse de nuit », de