Initialement prévue comme spectacle d’ouverture du Festival d’Avignon, édition 2020, la dernière création de Jean Bellorini a finalement pu rencontrer...
Macha la brocante
« J’étais devant la boutique d’un luthier vendeur de vieux instruments pendus au mur, et, à terre, des palmes jaunes et...
Miroitements
Maeterlinck est de ces auteurs francophones que l’on adule cérémonieusement mais qui se révèlent être – plus souvent qu’on ne le...
Titanic II
Deux ans après « Tristesses », Anne-Cécile Vandalem continue sa mise en récit des infinies désillusions de l’humanité. C’est encore et toujours...
Phase terminale
Gosselin et l’équipe de Si vous pouviez lécher mon cœur reviennent au festival après leurs « Particules élémentaires » en 2013 et...
The Great Tamer : bienvenue en Arcadie
Le « drame pastoral » de Dimitris Papaioannou, alliant avec bonheur la fraîcheur et la sophistication des images, met à distance la...
Brûlot indigeste
Ce qui est embarrassant dans “Les Parisiens”, adaptation du roman d’Olivier Py par lui-même, ce n’est ni la focalisation lourdingue...
Fait divers numéro 2666
Spectacle-fleuve d’Avignon, le projet de Julien Gosselin fait à lui seul événement. Adapter un roman de 1 352 pages en onze heures de...
La mort dans l’âme
(Article écrit en collaboration avec Pierre Fort) Cette édition du festival aura donc programmé deux adaptations de romanciers russes. Mais...
Joliment décevant
« Quand je rentrerai à la maison, je serai un autre. » Un chassé-croisé de vies incertaines, d’errances, de nostalgies révolutionnaires dans...
Moi est un autre
Il n’est parfois pas nécessaire de partir loin pour être un autre soi… Il suffit souvent de se plonger dans...
Les invasions barbares
C’est peu dire que « Barbarians » était attendu. Côté danse, Shechter a la cote. Cette fois, si le chorégraphe reste fidèle...
La barbarie d’Hofesh Schechter ne connaît pas l’amour
« Barbarians », de Hofesh Shechter, me cause un malaise, d’autant plus fort qu’il s’agit d’un chorégraphe très demandé, produit par les...
Mais pourquoi Thomas Bernhard est-il si méchant ??!!
Parce que oui, comme toujours, Thomas Bernhard détruit. Les artistes, les politiques, les institutions, vous, moi… Tout, tout le monde...