Déclarant que « la société totalitaire marchande fait du savoir un pouvoir et une solitude », le metteur en scène n’hésite pourtant...
La Mort de Danton
Dans la pièce de Büchner, le rire de Danton est toujours le rire d’un fou courant à la mort, ce...
Théâtre de stratégie
En avril dernier, le musée de l’Histoire de l’immigration programmait une œuvre au cours de laquelle le spectateur était invité...
Le nihilisme du visage
Malgré quelques références à la Russie contemporaine, il ne faudrait pas réduire l’adaptation de Frank Castorf à l’exploration de cet...
La mort dans l’âme
(Article écrit en collaboration avec Pierre Fort) Cette édition du festival aura donc programmé deux adaptations de romanciers russes. Mais...
Théâtre janséniste
« Un monde où l’on regarde bouche bée est un monde qui ne sait pas penser. » Ces mots prononcés par l’un...
Par-delà le jeu de massacre
Sur le couple, les artistes jettent bien souvent le cynisme de leur regard, faisant ainsi de leurs oeuvres un jeu...
Cirque bellorinien
Depuis ses mises en scène remarquées de Victor Hugo et Rabelais, Jean Bellorini est devenu un habitué de l’adaptation romanesque....
La gloire et la ruine
Adel Abdessemed présente dans l’église des Célestins dix bas-reliefs sculptés sur des matériaux divers, reprenant ainsi une modalité ancestrale de...
Virtuosité cinétique
Des draps blancs suspendus forment l’écran sur lequel trois rétroprojecteurs dessinent les décors bienveillants d’un conte d’enfant. À l’avant-scène,...
Esthète ou croyante ?
Angélica Liddell n’a cessé de fasciner par une mise en scène d’elle-même qui échappe à toute forme de discursivité, donnant...
Le peuple est-il un monochrome ?
En pleine lumière, la bouffonnerie politique. Et, comme des médias, comme de l’espace public, le peuple absent, rejeté dans l’ombre...
En quête de cinéma
« Ceci est une histoire vraie. » C’est sur ces mots inscrits à l’écran que débute la fiction. Le spectacle part donc...
Aux suivants
L’homo debitor (l’homme de la dette) rédimé par l’amour, telle est la trajectoire de l’oeuvre. Là réside pourtant une aporie...