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Tout part d’une photo à la naissance arbitraire, un cliché de Man Ray ou peut-être de Marcel Duchamp, « Élevage de poussière », qui va révolutionner la photographie du xxe siècle en dés-œuvrant l’image de l’œuvre, justement. Au Bal, on expose sans imposer. « Dust » met en scène des « histoires de poussières » à la manière de l’« écriture du désastre » chère à Maurice Blanchot : des cartels qui questionnent, un accrochage sous forme d’ellipse, un parcours non fléché. Comme un retour au temps minéral et prototechnique.
