Du passé de cette saison dernière faisons table rase, car ce qui est nous tue, et entamons alors celle qui...
I/O n°68 [édito] La faim
L’appétit vient en mangeant paraît-il. Voilà ce qui constitue la recette de base des festivals, garnir un buffet de mets...
I/O n°67 [édito] : Dis, quand reviendras-tu?
Petit détour métaphorique via Claude Louis-Combet ; toute ressemblance avec des personnes existantes pourra être considérée comme fortuite. Car après tout,...
I/O n°66 [édito] : Clepsydre
Certains le mesurent à la taille de leurs enfants, d’autres à l’évolution du blanc dans leurs cheveux. Quel que soit...
I/O n°65 [édito] : Fais-moi du couscous chéri
De cette injonction fondamentale naît toutes les espérances : celle du fumet voluptueux de la viande grillée (ou du mulet,...
I/O n°64 [édito] : Devenir un autre
Rien de pire que le spectateur déçu. Privé des pleurs comme Polynice de sépulture, il erre dans la ville de...
I/O n° 63 [édito] : « Libère-moi du mot qui dure »*
« Les gens disent tout le temps on ne comprend rien à la danse. Mais c’est exactement fait pour ça. C’est...
I/O n°62 [édito] : Sérendipité
Alors, oui, dans les rues de Fourvière, depuis 1946, on croise aussi bien Paolo Conte que Bob Wilson, Yannick Noah...
I/O n°61 [édito] : Festival, nourriture de l’âme
Plus que jamais cette année, le festivalier n’est rien d’autre que « cette silhouette titubante et monstrueuse qui fait claquer ses...
I/O n°59 [édito] : Un goût de châtaigne
Printemps ou automne qu’importe. Sous la pinède, le temps qui passe n’a pas de réalité sauf peut-être celle de voir...
I/O n°60 [édito] : Ce que Montréal met au monde
Il n’y a que les fêtes sans but véritable qui sont réellement marquantes. Je m’en souviens donc. Un peu comme...
I/O n°58 [édito] : L’art de rien
Que l’on croit ou non en l’existence de ce que nous appelons le postmodernisme, il est acquis en matière artistique,...
I/O n°57 [édito] : De pore en pore
C’est à travers la porosité des frontières que cette nouvelle édition du Kunstenfestivaldesarts tente de transmettre, une fois de plus,...
I/O n° 56 [édito] À la douche !
Après Berlin, Moscou, Abu Dhabi et Tel-Aviv ce mois-ci, voilà que I/O Gazette pose ses valises à Tours, et a...
I/O n°55 [édito] Europe, fille d’Agénor
Fidèle illustration d’un temps cyclique aussi inquiétant que rassurant, le festival Chantiers d’Europe revient pour la 8e année au Théâtre de...
I/O n°54 [édito] Ce qu’habiter veut dire
Suivrons-nous le raisonnement du mollusque de Gaston Bachelard quand il affirme dans « La Poétique de l’espace » qu’il faut « vivre pour bâtir...
I/O n°53 [édito] : Objets aimés
« Tout objet aimé est le centre d’un paradis », écrivait Novalis. Avec ce 17e festival MARTO !, du 10 au 26 mars dans les...
I/O n° 52 [Édito] Le théâtre, ou l’ultime témoignage
Dans « L’Archive et le témoin », Giorgio Agamben parle de la Shoah comme d’un « événement sans témoin ». Impossibilité du témoignage, donc....
I/O n° 51 [Édito] Histoire d’une théodicée contemporaine
Imaginons que le théâtre soit la simple monstration d’un aujourd’hui à des gens d’ici. Alors la danse ne serait-elle pas...
I/O n°50 [édito] : L’oint des yeux, l’oint du cœur
« Peut-être l’immobilité des choses autour de nous leur est-elle imposée par notre certitude que ce sont elles et non pas...
I/O n°49 [édito] : À force de m’être cherché, c’est toi que j’ai perdu
« Danser, Est-ce remplir un vide ? Est-ce taire un cri ? C’est la vie de nos astres rapides prise au ralenti. » Rilke...
Edito I/O n°48 : Aimer ce(ux) qui resiste(nt)
« Ce que l’Amour a de plus doux, ce sont ses violences ; son abîme insondable est sa forme la plus belle ;...